1e photoshoot à viiiiiiiiie

17 h 11 Gome 0 Comments

Boucle d'oreille par Studio Method(e)

C’est toujours fascinant de regarder quelque chose qu’on a créé, puis de constater que ce n’est pas de notre propre goût, mais de réaliser tout de même l’amélioration depuis la fois précédente.

J’avoue au départ avoir été intimidé par mon idée de faire une séance photo avec mes bijoux. Pour ce dernier projet, j’étais prise entre mon désir de vouloir réaliser une idée que j’avais en tête depuis longtemps et celle de savoir d’avance le sentiment de dégoût que j’allais avoir devant le résultat final. Comme si j’avais en partant la certitude que je n’allais pas arriver à concevoir ce que j’aurais réellement aimé voir. Je crois que c’est dû au fait que, considérant jamais n’avoir touché au mode manuel d’un appareil photo avec cette session, je ne me sentais pas en contrôle, je ne sentais pas que je maîtrisais mon mes outils. 

En fait, je ne me suis pas vraiment sentie à l’aise souvent dans la réalisation des travaux. Je ne sais pas à quoi peut ressembler la méthodologie d’un photographe professionnel travail ; sa façon de structurer les différentes étapes dans son un projet, sa façon d’utiliser son matériel, son rapport aux outils informatiques, et je suis sûre que j’en passe. J’aime apprendre en ayant des connaissances théoriques et en observant quelqu’un d’inspirant à l’oeuvre, puis de mettre l’apprentissage en pratique.  

Visiblement, je ne peux pas cacher que l’esthétique de mes photos dégage quelque chose lié à l’industrie de la mode. Je suis en amour avec le blogue Man Repeller avec leurs séances photo ludiques et excentriques. 

On était tôt le matin. 
Lendemain de brosse. 
J'ai maintenant une collection de Michelle qui baille. 
Et elle a même refusé le café noisette et biscottis à la vanille que je lui proposais.
Quelle femme powerfull :) 


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Le collier Pas de titre et mal présenté

18 h 11 Gome 0 Comments


L’envie de me fumer un petit joint avant d’écrire me titille en ce moment. Le plaisir d’écrire se sent comme une marche de fourmis dans l’esprit. J’aime le flow d’idées qui vient d’un joint, son comment il en sort. Je vais fumer, je reviens. 

Me revoici. 
De gauche à droite : Je suis un objet en tant qu’objet, C’t’un beau collier, Pas de nom et mal présenté

J’ai été chercher les trois derniers colliers que j’ai faits. J’avais envie de leur donner un titre, de parler d’eux. 

Mes titres ont spontanément envie de sortir en français (les termes techniques quant à eux sont plus efficaces en anglais je trouve). 

#1 : Mais c’t’un collier ? ? ou C’est bin juste un collier ? ? ou C’était quoi don le concept ? ? Pourquoi mon titre sort toujours en question ? Ça pourrait aussi être simplement ce que j’entends comme commentaire dans les critiques : « C’t’un beau collier ». Tout me ramène aux bijoux, mais quel sens je veux leur donner dans ma vie ?

C’t’un beau collier 
Sterling silver, Stainless steel, Fine silver charm by Luna's Loft, Powdercoated copper, Onyx, Garnet, Aventurine, Pyrite, Seed bead by Miyuki®, Freshwater pearl, Crystal by Swarovski®

#2 : Et ce collier-là me confirme « Je suis un objet en tant qu’objet »

Je suis un objet en tant qu’objet
Sterling silver, Stainless steel, Copper, Agate, Garnet, Onyx, Quartz, Seed bead by Miyuki®, Nylon cord 

Parce qu’en théorie, ce que je trouve comme définitions de Bijou, n.m. ça donne : 
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- Antidote (eh oui c’est le premier que j’ai sous la main) :
     - Petit objet ouvragé, d’une matière ou d’un travail précieux et servant à la parure.
     - Objet, ouvrage fait avec beaucoup d’art et d’habileté.


- Le Petit Larousse 2010 :
     - Objet de parure, d’une manière et/ou d’un travail précieux. 
     - Ce qui est petit et joli, d’une facture d’une finition particulièrement soignée.


- Le Larousse Des Tout-Petits 1986 : 


Le bijou est dans le coffre, le coffre est dans la chambre, marilon, marilé.
HAHA en cherchant comment écrire le titre de la toune, Google m’a fait découvrir Marino Marini
♥︎La Piu Bella Del Mondo, e un amore profondoOoOoOo♥︎ 

- Le Plus Petit Dictionnaire Larousse 2009 : 
    - Joyau. Objet précieux. Chose très jolie
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#3 : Et mon petit dernier « Pas de nom et mal présenté » 

Pas de nom et mal présenté
Stainless Steel, Pewter piece by Tierra Cast®,  Powdercoated copper, Freshwater pearl, Seed bead by Miyuki®, Silk

Pour ce dernier projet, je me suis beaucoup demandé (et ce, tout au long de la session) comment présenter mes bijoux. Déposé sur socle ? Sur des clous au mur ? Simplement dans mes mains ? Sur moi ? Sur quelqu’un d’autre ? Est-ce que j’achète des présentoirs à bijoux préfabriqués ? Ou je les fais moi-même ? Et je fais quoi ? Un socle ? Quelque chose à clouer au mur ? Accompagné d’oeuvres picturales ou seul ? Un moulage réaliste d’un membre du corps ou une représentation complètement absurde ? En suspension ou dans quelque chose ? En déjouant les lois de la gravité ? Avec quel matériau ? Quelle couleur ? Quelle finition ? Combien j’en fait ? Où je les place ? À quelle distance de ce qui est autour et d’eux-mêmes ? Avec quelle lumière ? 

Quelqu'un peut m’aider s’il vous plait ? 

Et pour aucune raison avec le projet, j’inclus ici une autre image du Larousse Des Tout-Petits :  

Qui n’aime pas les mises en abîme ? Tout le monde aime les mises en abîme. Sinon vous êtes bizarre, je pense. 

Bon, revenons. Aujourd’hui, on est le lendemain de quand j’ai écrit le reste. C’est impertinent d’en faire mention n’est-ce pas ? Non en effet, je suis d’accord que ça ne l’est pas. D’où ma volonté de ne pas l’avoir effacé. Mais encore, revenons. 

Un objet. À la première critique du volet objet du cours (où j’avais présenté « Je suis un objet en tant qu’objet » ), on m’avait demandé qu’est-ce qui faisait que je considérais ce bijou comme un objet alors que, lors de la critique dans le volet image du cours, j’avais présenté un bijou comme une image. 

Sur le moment, je ne savais pas trop comment l’expliquer, mais je sais que je sentais que j’y croyais réellement à la distinction entre les deux. Je pense que c’est dû au fait que je voyais ce dernier (le bijou présenté dans le volet image) pouvant uniquement devenir une photographie prise de face ; pas besoin d’être porté, d’être observé sous tous ses angles, de remarquer les qualités des différents matériaux. Ce bracelet était une histoire dans un cadre narratif, un bracelet comportant des phylactères dans un cadre formant lui aussi un phylactère en chaîne. 

Celui « Je suis un objet en tant qu’objet » est plutôt un objet puisqu’il a été conçu tel un jeu de formes dans lequel je m’amusais avec différents concepts de mise en abîme (vive les mises en abîme yéééé ! ) ; une bille de billes, un oeillet plein d’oeillets, des chaînes qui s’enchaînent. Je l’ai créé pour voir apparaitre des jeux de mots en 3D, pour regarder ses volumes et ses facettes, pour ne plus comprendre les raisons pour lesquelles certains éléments sont symétriquement asymétriques. Ou c’est l’inverse ?

Enfin pour finir, oui vous avez raison, je dois continuer à me poser des questions. Concernant le bac, les bijoux, l’art, ce que je dois faire avec tout ça, la façon que je dois présenter ce que je dois faire avec tout ça. Parce que je ne sais pas. 
Je ne sais pas. 

Mais je sens qu’à la prochaine session, je vais trouver des débuts de réponses.
Peut-être. 



Oui, je vais en trouver. 

P.s. Merci Michelle d'avoir été ma modèle lolololol Premier photoshoot à vie haha

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Objet abstrait ou un bijou

17 h 05 Gome 0 Comments

Il peut y avoir à l’intérieur d’un seul bijou l’infini des notions liées à la sculpture. Le vrai infini, plus grand que tous les trous noirs réunis. L’infini avec quelque chose comme, je me sens aspirée de terreur (des jours c’est de terreur, d’autres c’est d’une joie immense, d’autres, j’y pense moins, mais tout de même, je me sens aspirée) à l’idée qu’il y a tellement de possibilités de sculpture (et de bijou) à faire pour ce qu’une petite vie humaine nous permet de réaliser. 

C’est dommage et c’est tant mieux. 

Je ne sais pas si c’est particulier à ces temps-ci ou si ç’a toujours été présent en moi cette conviction d’être maximaliste dans l’âme. Je veux voir l’accumulation de n’importe quoi, surtout celui du temps passé à accumuler. Par conséquent, j’ai essayé de faire en sorte d’intégrer un maximum de concepts reliés à la sculpture pour ce dernier projet. Des pièces sont des représentations miniatures d’objets, d’autres comportent des représentations figuratives gravées sur la surface, certaines sont purement des explorations de formes, de couleurs ou de matériaux. Aussi, quelques-unes portent une histoire profondément personnelle tandis qu’une autre est simplement présente pour une question esthétique. Il y en a qui sont des constructions très structurées et à l’inverse, il y en a qui sont une appropriation d’un autre bijou que je n’ai pas fabriqué (le sujet de l’approbation et de la copie dans les bijoux est très préoccupant et tellement riche en arguments, mais c’est un sujet pour un autre projet). Une pièce est également une référence au réel afin d’être plus métaphorique, plus poétique, plus libre d’être interprétée symboliquement par le regardeur. 

Et après avoir regardé chaque pièce, qu’en est-il de l’entièreté du collier ? Que dois-je en penser ? Je ne sais pas encore quoi me dire à son sujet, il est trop frais. Je ne me suis jamais retrouvé avec autant de remises en question à mon rapport avec l’univers du bijou de toute ma petite vie humaine. Je dis univers, mais je déteste ce mot pour ce contexte. Je déteste tout le monde qui a déjà dit « bienvenue… dans mon univers ». Évitons de dire ça, s’il vous plait. Ne dites plus ça, personne. hihihi 

Monsieur Naylor, j’avais noté une phrase que vous aviez dit pendant un cours qui avait résonné en moi : « Un objet suppose le temps, selon entre autres que notre support matériel est temporel ou fixe. » Si on considère un objet par cet aspect, je crois avoir un léger penchant pour l’éternité, du genre que, pour être certaine que les choses durent le plus longtemps possible, je fais en sorte d’utiliser des matières presque déjà mortes mortes mortes, afin qu’elles ne puissent plus trop mourir. Parce que oui du métal ça peut continuer de bouger dans la vie. C’est d’ailleurs tellement agréable de regarder du fils d’argent se dandiner dans tous les sens pendant un recuit hihihi. Ça leur fait tellement du bien de se détendre. Mais bref, bien que rien n’est pour toujours, je veux créer des objets qui s’y rapprochent et que ce soit les sentiments qu’on accorde à l’objet qui puissent correspondre à un moment précis, une durée non définie (bien qu’inévitablement éphémère) ou à l’instant présent qui, sans pouvoir le savoir avec infaillibilité, peut durer l’éternité (en plus que l’éphémérité d’un sentiment n’empêche pas la possibilité de le voir renaitre à un autre moment, d’où l’incertitude du temps qu’il suppose et d’où l’importance de la longévité des matériaux). 

Mais est-ce que tout ça n’est pas quelque part qu’une question de connaissances développées au fil d’une pratique ? Et ça me ramène encore au fait que depuis le début de mon bac, je me questionne beaucoup à ce qui distingue l’art de l’artisanat. Il me semble que ça me mène inévitablement à l’importance de faire preuve de techniques, de savoir-faire par rapport à appliquer des notions théoriques, des réflexions conceptuelles. Je dois m’avouer que j’adore comprendre comment des choses sont fabriquées. J’adore voir des choses bien exécuter. Et je ne sens pas que les cours à l’université me permettent d’avancer personnellement à ce niveau. Mais peut-être devrais-je parfois tenter de carrément oublier la technique ? J’avais fait une lecture intéressante sur le sujet dans le livre Le nouveau bijou de Peter Dormer et Ralph Turner : 

« On peut regretter parfois de ne plus retrouver le plaisir que procure l’habileté technique de l’artisan. Toute idée - aussi bonne soit-elle - peut être gâchée par une mauvaise exécution. Or, […] il a parfois été de bon ton d’ignorer la technique, en partant du principe qu’elle était ennuyeuse et pesante, et qu’elle empêchait l’apparition du Phénix de la créativité. Il est donc arrivé que Phénix se transforme en Icare. Dans certains milieux, la technique artisanale a été traitée avec dédain, comme si elle était à la portée du premier venu. On a souvent dit qu’une importance trop grande accordée à la technique tuait la spontanéité, et il est certain qu’un matériau trop travaillé peut nuire à l’apparence d’un objet : il est possible de trop polir ou de trop accentuer le tranchant des bordures, d’affadit une couleur ou de donner un aspect d’ensemble trop fignolé. Mais « en faire trop » est précisément le signe d’une mauvaise technique ; ce qui compte, c’est l’adéquation d’une technique à une idée créatrice. »

Puis pendant la session, j’ai participé à une formation à l’école de joaillerie de Québec avec le-plus-que-prodigieux-Charles-Lewton-Brain. Il était d’un partage de connaissances incommensurables et il m’a bien fait rire en disant :


« Do you know the difference between an artist and a craftman ? 

The artist can make a beautiful object…
The craftman can make two of them. » 


Savoir qu’on peut faire et refaire ; est-ce que ça provient quelque part du désir de sentir un certain contrôle sur quelque chose ? De penser pouvoir maîtriser une situation, une matière, une apparition ? Est-ce qu’au fond les objets qu’on veut faire deviennent le reflet de ce désir ? 


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Charles Lewton-Brain : Formation de Foldforming

19 h 16 Gome 0 Comments




Pour la première fois depuis la fin de mon DEP en joaillerie, j’ai assisté à une formation de perfectionnement d’une technique : le FoldForming par Charles Lewton-Brain à l’école de joaillerie de Québec. Jamais je n’avais vu de simples plaques de cuivre devenir en si peu de temps des formes au volume complexe ou se transformer en design organique avec l’aide de seulement quelques outils. Il nous présentait avec générosité son savoir-faire entremêlé d’une pointe de paresse pour laisser le matériau s’exprimer ; « Let the metal do the work and then you’ll see nature ». Comme il l’est si bien écris dans le livre Petite métaphysique des jouets : Éloge de l’intuition enfantine de Nicolas Witkowski : « La science et toutes les merveilles qu’elle inspire ne seraient-elles qu’une façon de simplifier, de résumer les phénomènes pour libérer de la place en mémoire ? Voici enfin une alternative honnête au génie : la tendance naturelle à la paresse. »

Et son humour rendait le tout si fluide. Il nous incitait à la paresse, parce qu’il voit la lâcheté comme étant un moyen de trouver des solutions plus efficaces dans le but d’arriver rapidement à ses fins. Pas fou. Une de ses jokes a réellement résonné en moi ; 

« Do you know the difference between an artiste and a craftman ? 
The artist can make a beautiful object…

The craftman can make two of them. » 

Entendre ça m’a comme fait l’effet de, aaaaahhhh ♥︎ Parce que depuis le début de mes cours à l’université (au baccalauréat en arts visuels), c’est une question qui me revenait souvent et je me disais que je ne devais pas être la seule à ne pas savoir comment verbaliser mon rapport à chacun des deux termes, mais peut-être qu’en même temps, je devrais au fond m’avouer que m’identifier au mot « artisane » me vient plus vite à l’esprit, mais peut-être aussi qu’on n’a pas à choisir, et qu’on s’en fou, non ? Non. 

Bref, la formation continuait son cours puis il a dit : « Go. Try to copy me. »
On n’avait pas de marche à suivre précise, simplement ; l’observer, absorber. 
Il nous laissait recréer comme on le sentait, puis prendre un moment, s’observer, et je pensais ; c’est tellement puissant la force de l’esprit de quelqu’un qui soit dans un tel état de confiance et qui veuille à tout prix transmettre ses connaissances du meilleur de ses actions. 

J’avais lu le principe dans le livre L’art d’être bon de Stenfan Einhorn : 

 « Nous apprenons en imitant les autres. Depuis tout petit, c’est ainsi que nous avons développé et découvert de nouvelles choses. Nous n’avons pas appris à marcher, à utiliser nos mains et à parler en prenant secrètement des cours par correspondance mais en imitant les autres. […]
C’est malheureusement un fait que notre aptitude à apprendre par imitation change au fur et à mesure que nous grandissons. On attend d’un adulte qu’il acquière ses connaissances sans imiter les autres. L’imitation est même considérée comme quelque chose de honteux. « Arrêter de copier » est une phrase que nous avons entendue, suivie de l’insulte « copieur ». 
C’est pourtant une manière de penser remarquable. Une grande opportunité nous est donnée de développer notre générosité en permettant aux autres de tirer des leçons de nos talents. Si nous sommes généreux en enseignant ce que nous savons, nous ne devrions pas avoir peur d’apprendre des autres en les imitant. Et si nous avons cette générosité envers autrui, il est considérablement plus facile de la recevoir en retour. […] 
N’ayez pas honte d’imiter les autres. Demandez-leur comment ils font. Essayez d’ajuster votre façon de penser à la leur. Apprenez des autres et soyez généreux en leur enseignant. L’imitation est permise, la curiosité aussi - c’est même une bonne chose. » 

Et pour résumé, la citation de Man Ray dans le livre Bijoux sculptures : L’art vous va si bien est plus qu’approprié : « Créer c’est divin, reproduire, c’est humain » 


Charles Lewton-Brain mentionnait l’importance de jouer, faire des tests, faire des « erreurs » ; « if you make a mistake three times, it is now a technic ». Ça me faisait encore penser à la Petite métaphysique des jouets : Éloge de l’intuition enfantine où le premier chapitre commence avec une citation d’Albert Einstein : « Le jeu est la forme la plus élevée de la recherche ». Il recommandait d’ailleurs de se donner obligatoirement 1h par semaine de temps pour jouer dans le métal. Revenir au jeu fait renaitre le vrai plaisir. 

On ressentait comme une urgence de partager au plus grand nombre tout ce qu’il pouvait dans le court temps que durait la formation (15h). Il donnait une foule de ressources ; son site en est justement une à découvrir absolument. Je vous en propose quelques unes intéressantes notées au fil des discussions (et on va se le dire, ça me sert aussi à ne pas laisser cette mine d’or d’information se perdre de ma mémoire et dans mon carnet de notes hehe) : 

Livres qu’il recommande : 
Ses propres livres bien entendu hehe 
- Theory and Practice of Goldsmithing par E. Brepohl
- Adhesive Bonding Alcoa Aluminium par ALCOA
- Forming Alcoa Aluminium par ALCOA (pdf gratuit)
- The Science of Strong Materials par J.E. Gordon
- To Engineer is Human par H. Petroski
- Metals in The Service of the Man par W. Alexander (LOL le titre hahaha) 
- Handbook of Fastening and Joining Metal par V. H.-Laughner & A. D.-Hargan
- Materials and Processes in Manufacturing par E. Paul DeGarmo 
- Creative Metal Forming par C. Eid
- Hydraulic Die Forming for Jewelers and Metalsmiths par S. Kingsley 
- The R.T. Blanking System par R. Taylor  

Sites pour achat qu’il suggère : 
Frasers (site d’outils pour le Canada)
Thomasnet (site d’outils pour les États-Unis)
Mscdirect (pour key stoke)
The Accidental Hammer (pour marteau en papier de qualité) 
Cliff Carroll’s (Anvil à excellent rapport qualité/prix)
Abebooks (pour acheter des livres à prix compétitif)
Brynmorgen (livres sur des techniques de bijoux) 

Autres références notées pendant la formation : 
- GM42 1980 Med Green Chevrolet et 76 Thunderbird Blue (belles patines extrêmement durables)
Et j’ai acheté le CD « The Bench Tricks for Goldsmithing CD with Cheap Thrills » (une vraie mine d’or) et également le CD « Foldforming » afin de conserver la tonne d’information concernant les techniques apprises pendant la formation.  


Et une chose qu’il a tant répétée durant la formation c’est « unit repetition » « unit repetition » « unit repetition », comme quoi à partir d’une simple accumulation l’on peut voir émerger une grande valeur. 





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